Depuis les origines du Cinématographe, le placement de produits existe. Les frères Lumière eux-même y ont eu recours puisque le fameux film La sortie d'une usine Lumière sorti en 1895 peut être considéré comme étant une publicité pour l'entreprise Lumière. Avec l'importance grandissante du cinéma au cœur de la culture populaire, il est donc logique que de nombreuses marques tentent de profiter du phénomène. Les placements de produits visent, dans ce contexte, à améliorer l'avis de la population sur l'entreprise. La présence d'une marque ou d'un produit à l'écran a pour but une meilleure image de marque.
CinéClub 2k
CinéClub 2k, c'est quoi? C'est un blog dédié au cinéma, où vous pouvez trouver des critiques, des avis, des conseils qui tournent autour de la sphère cinématographique.
dimanche 2 décembre 2018
mardi 27 novembre 2018
Critique #8 - First Man (2018): Le dernier Chazelle est un coup de coeur
Sorti il y a déjà plus d'un mois, je n'avais jusque-là pas eu le temps d'aller voir First Man de Damien Chazelle, un des réalisateurs phares de ces dernières années puisque ce brave bonhomme de 33 ans a déjà réalisé deux chefs-d'oeuvre avant First Man qui ne sont autres que Whiplash et La La Land. Avec First Man, Chazelle remet le couvert pour nous servir une oeuvre grandiose, peut-être sa meilleure, même si Whiplash reste en tête pour ma part, et que de nombreux spectateurs ont flashé sur La La Land.
vendredi 26 octobre 2018
Critique #7 - Capharnaüm (2018): vous reprendrez bien un peu de pathos ?
Capharnaüm, film de Nadine Labaki, a récemment reçu le prix du jury au Festival de Cannes ainsi que deux Golden Orange Awards. Ce film retrace une tranche de vie d'un petit garçon libanais, Zain, à la vie bien chaotique.
vendredi 12 octobre 2018
Critique #6 - Dilili à Paris (2018): vous avez dit coup de coeur?
A l'heure où tout le monde s'agite autour de Venom, j'ai fait le choix (étrange?) d'opter pour Dilili à Paris qui ne passait que dans un petit cinéma d'arts et d'essais du coin, à une séance où nous n'étions que cinq dans la salle. 1h35 de film passent, temps pendant lequel je suis émerveillé sans interruption. Dilili à Paris nous plonge dans le Paris de la Belle-Epoque, apparemment plus précisément entre 1900 et 1914, dans lequel se produisent de nombreux kidnappings de jeunes filles par un groupe assumé: les Mâle-maîtres (on oubliera pas de voir le homonymie avec Mal-maître, terme peut-être plus parlant). Dilili va alors se lancer, avec son ami Orel, à la recherche d'indices pour découvrir qui sont ces ennemis de l'ombre et arriver, a fortiori, à les vaincre.
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